Malgré les efforts consentis par l’exécutif togolais pour une éducation de qualité, il est récurrent de constater, à tous les niveaux de l’enseignement, des fautes dans les productions écrites et orales des apprenants. En guise de remède, les autorités en charge de l’éducation optent pour un renforcement des activités qui concourent à la maîtrise de la langue, notamment de Molière. 

Désormais, l’apprentissage de l’orthographe chez les élèves devrait se consolider davantage. Pour ce faire, le ministre des Enseignements primaire et secondaire a instruit les directeurs des écoles normales de formation des professeurs, les inspecteurs, les conseillers pédagogiques et chefs d’établissement à prendre des dispositions qui s’imposent dans l’optique de renforcer toutes les activités qui concourent à la maîtrise de la langue.

Dans les faits, il s’agit d’encourager la lecture des œuvres ou des textes qui serviront de supports pour développer les compétences en vocabulaire et en grammaire-conjugaison, sans oublier l’introduction de méthodes d’apprentissage diversifiées telles que les dictées (dictée progressive, dictée reconstituée, dictée à trous, dictée à pièges, dictée parlée ou commentée).

Tout en rappelant que « désormais, les corrections des productions et les comptes rendus prendront en compte la forme et le fond des productions, quelle que soit la discipline », les autorités en charge de l’éducation indiquent que « la maîtrise de la langue par nos apprenants est un devoir qui incombe non seulement aux maîtres ou aux professeurs de Français, mais également à tous les enseignants, quelle que soit la matière apprise ».

La Rédaction

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