Les leaders mondiaux, dont le chef de l’Etat togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, participent depuis ce mardi 14 mai, au siège de l’Unesco à Paris, au sommet de haut niveau sur la cuisson propre en Afrique. L’idée est d’inscrire la problématique de la cuisson propre au rang des questions de développement durable.

A l’initiative de la Groupe de la Banque africaine de développement (Bad) et de l’Agence internationale de l’énergie (Aie), des chefs d’Etats et de gouvernement, mais aussi des représentants des institutions internationales, du secteur privé et de la société civile sont réunis au siège de l’Unesco à Paris pour débattre, pour la première fois, de « l’épineux problème de la pollution de l’air due à la préparation des repas sur les feux ouverts, des fourneaux avec le bois de chauffe, le charbon de bois, et bien d’autres combustibles ».

L’objectif, pour les organisateurs de cette rencontre de haut niveau, est « de faire de l’accès à la cuisson propre une question développement durable ».

Ce sommet transversal, aux enjeux tant sanitaires, sociaux que climatiques, se veut de formuler des « recommandations politiques fortes, des engagements financiers et d’élaborer des stratégies concrètes, notamment en matière de marchés de crédits carbone, de développement et d’égalité de sexe ».

Notons que le Togo, qui est représenté à ce sommet par le Président Faure Gnassingbé, a inscrit au cœur de ses priorités « la promotion des énergies renouvelables, la promotion de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie ».

La Rédaction

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