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Le vendredi 18 octobre dernier, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu Le glorifie, a présidé le Conseil des ministres consacré à l’examen des orientations générales du Projet de la Loi de finances, exercice 2025, et à l’approbation de plusieurs accords internationaux. Cette rencontre a été surtout l’occasion pour le Souverain de procéder à une série de nominations à des fonctions supérieures, ceci conformément aux Hautes Directives Royales énoncées lors de Son Discours Royal devant les Parlementaires, il y a quelques jours déjà.

Dans un contexte national marqué par l’impulsion d’une nouvelle action diplomatique telle qu’annoncée par le Discours Royal en date du 11 octobre dernier devant le Parlement, dans lequel le Souverain avait insisté sur la mobilisation de la diplomatie, dans toutes ses composantes, qu’elle soit institutionnelle, partisane ou parlementaire.

Ce Discours Royal intervient dans un contexte régional et international des plus complexe, qui présente certes des défis de taille pour le Maroc, mais qui recèle aussi des opportunités importantes que l’appareil diplomatique doit pouvoir saisir. Un mouvement diplomatique qui concilie professionnalisation et ouverture.

Ainsi, conformément aux dispositions de l’article 49 de la Constitution et sur proposition du Chef du gouvernement et à l’initiative du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Sa majesté le Roi, que Dieu Le glorifie, a procédé à la nomination de plusieurs personnalités au rang d’ambassadeurs du Souverain auprès de plusieurs pays frères et amis.

A ce titre, on peut citer :

  • M. Othman El Ferdaous, ambassadeur auprès de la République de Côte d’Ivoire ;
  • M. Abdelkader El Jamoussi, Ambassadeur auprès de la République de Cameroun ;

– M. Mustapha El Alami Fellousse, ambassadeur auprès de la République centrafricaine ;

– Mme Najoua El Berrak, ambassadeur auprès de la République du Congo ;

– M. Mohammed Iboumraten, ambassadeur auprès de la République du Niger ;

– M. Ahmed Rida Chami, ambassadeur auprès de l’Union Européenne ;

– Mme Fatiha Ayadi, ambassadeur auprès du Danemark ;

– M. Omar Amghar, ambassadeur auprès de la République de Serbie ;

 – M. Redouane Adghoghi, ambassadeur auprès de la République de Bulgarie ;

– M. Majid Halim, ambassadeur auprès de la Malaisie ;

– M. Redouane Houssaini, ambassadeur auprès de la République d’Indonésie ;

– Mme Boutaina El Kerdoudi, ambassadeur auprès de la République du Bangladesh ;

– M. Younes Dirhoussi, ambassadeur auprès de Saint Lucie.

Notons que ce mouvement des ambassadeurs, qui concilie professionnalisme et ouverture, sont issus, pour la plupart des figures du monde politique, économique mais aussi médiatique, avec un accent tourné vers la féminisation de l’appareil diplomatique.

Cette approche du Souverain basée sur le mérite car, les deux tiers des ambassadeurs nommés sont le fruit d’une promotion interne, avec un nombre croissant de visages féminins. On a en pour preuve, l’effectif global de femmes au poste d’Ambassadeur de Sa Majesté, qui est porté à 21, soit près du quart. Ainsi, le nombre de femme occupant le poste d’Ambassadeur en Europe a atteint les 40%. Ce nombre est également en nette augmentation sur le continent africain.  

MC

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