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Un atelier régional regroupant de renforcement de capacités des gestionnaires des sites et personnes focales de la Convention de 1972, s’est tenu cette fin de semaine à Lomé.

Ouvert par le Directeur de cabinet du ministère de la Culture et du tourisme, Koffi Bakayota Kpayé, représentant le ministre Gbényo Lamadokou, cette rencontre sous régionale de trois jours (du 15 au 17 mars 2023) a permis aux participants de revisiter leurs stratégies de gestion et de conservation de leurs patrimoines tant naturel que culturel pour un développement harmonieux des territoires.

Organisée par l’UNESCO à travers son Bureau Régional d’Abuja, la rencontre de Lomé est, selon le représentant du ministre de la Culture, une véritable aubaine pour une meilleure mise en œuvre des termes de la Convention de 1972, relative au patrimoine mondial.

Cette Convention, faut-il le souligner, a pour caractéristique la plus originale de réunir dans un même document les notions de protection de la nature et de préservation des biens culturels. La Convention reconnaît l’interaction entre l’être humain et la nature et le besoin fondamental de préserver l’équilibre entre les deux.

Ainsi à l’issue des travaux dirigés par les experts de l’UNESCO, les acteurs intervenant dans la gestion des sites, dans la mise en œuvre de cette Convention de 1972, sont suffisamment outillés sur les méthodes de rédaction des plans de gestion et de conservation, tout comme leur mise en œuvre.

JPB

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