
La naissance de Louise Marie-Thérèse, surnommée la « Mauresse de Moret », a suscité de vives préoccupations dans toute la cour royale d’antan. Fille présumée de Louis XIV et de la reine Marie-Thérèse d’Autriche, elle serait née avec une peau noire. Une princesse noire donc dans la […]
ACTUALITE SOCIETELes coopératives de la Filière Karité du Togo bénéficient d’un don de matériel de transformation du karité. Il s’agit des foyers améliorés destinés à réduire la pénibilité de la torréfaction des amendes, étape importante dans le processus de fabrication du beurre de karité. Ce vendredi […]
ACTUALITE SOCIETEC’est avec beaucoup d’éclat que l’Office togolaise des recettes (OTR) a célébré, le lundi 27 janvier dernier, l’édition 2025 de la Journée internationale des douanes (JID). Instituée par l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD), cette célébration annuelle, se veut de reconnaître et valoriser le travail crucial […]
ACTUALITE SOCIETEC’est un colonel pour un autre à l’Ambassade du Togo en France. Le successeur du Col Calixte Batossie Madjoulba à l’Ambassade du Togo en France, est connu depuis hier jeudi 13 février. Il s’agit d’un autre officier des forces armées togolaise, le Col Ouro-Koura Agadazi. […]
Créé en 2017, le Comité de Concertation État-Secteur privé (CCESP Togo), dont le mandat est d’œuvrer à l’enracinement de la culture de dialogue afin de renforcer la confiance mutuelle entre acteurs publics et privés, vient d’installer son antenne régionale de la Kara. C’est pour un […]
ACTUALITE ECONOMIEC’est une grande première. En janvier dernier, une créature des abysses est sortie de l’ombre et remontée à la surface au large de Tenerife (Espagne). Le 26 janvier 2025, une baudroie abyssale de Johnson, aussi baptisée le “diable noir des abysses” (Melanocetus johnsonii), est apparue […]
ACTUALITE ENVIRONNEMENTC’est un colonel pour un autre à l’Ambassade du Togo en France. Le successeur du Col Calixte Batossie Madjoulba à l’Ambassade du Togo en France, est connu depuis hier jeudi 13 février. Il s’agit d’un autre officier des forces armées togolaise, le Col Ouro-Koura Agadazi. […]
ACTUALITE DIPLOMATIEC’est un colonel pour un autre à l’Ambassade du Togo en France. Le successeur du Col Calixte Batossie Madjoulba à l’Ambassade du Togo en France, est connu depuis hier jeudi 13 février. Il s’agit d’un autre officier des forces armées togolaise, le Col Ouro-Koura Agadazi.
Le Colonel Ouro-Koura Agadazi a été nommé, hier jeudi 13 février, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République Togolaise près la République Française.
L’ancien ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche (juillet 2012 – mai 2015) occupe désormais le poste de la représentation diplomatique du Togo à Paris, laissé vacant depuis que son prédécesseur, le Colonel Calixte Batossie Madjoulba, a été nommé ministre de la Sécurité et de la protection civile.
Notons qu’avant sa nomination, le Col Agadazi était le Directeur Général de l’Agence nationale de sécurité alimentaire (ANSAT). L’homme a également fait ses preuves au Programme national d’investissement agricole et de sécurité alimentaire (PNIASA).
Mabé B.
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C’est une grande première. En janvier dernier, une créature des abysses est sortie de l’ombre et remontée à la surface au large de Tenerife (Espagne). Le 26 janvier 2025, une baudroie abyssale de Johnson, aussi baptisée le “diable noir des abysses” (Melanocetus johnsonii), est apparue […]
ACTUALITE ENVIRONNEMENTC’est une grande première. En janvier dernier, une créature des abysses est sortie de l’ombre et remontée à la surface au large de Tenerife (Espagne).
Le 26 janvier 2025, une baudroie abyssale de Johnson, aussi baptisée le “diable noir des abysses” (Melanocetus johnsonii), est apparue au large de Guía de Isora, une petite commune située à l’ouest de l’île de Tenerife. Une apparition capturée en vidéo par des membres de l’ONG Condrik Tenerife, indique le média Demotivateur.
La scène, pour le moins étrange, est commentée par l’organisation sur Instagram : le poisson remonte à la surface de l’eau, « des profondeurs abyssales lors d’une nage verticale ». Toujours selon Condrik Tenerife, il semblerait que la présence du « diable noir des abysses » dans cette région soit un fait exceptionnel, une « première observation dans le monde d’un diable noir vivant, en plein jour et à la surface », notant que « les enregistrements existants à ce jour correspondent à des larves, des spécimens adultes morts ou filmés avec des sous-marins ».
Vous vous demandez pourquoi cette remontée fait autant de vagues ? La baudroie abyssale de Johnson vit généralement entre 200 et 2000 mètres de profondeur et ne se montre que très très rarement. Ce type de créature évolue dans les mers tropicales et subtropicales, précise GEO.
La question demeure alors, comment ce poisson a-t-il pu être repéré aussi loin de son habitat naturel ? Les scientifiques expliquent que le phénomène « peut-être dû à une maladie, à un courant d’eau ascendant, à la fuite d’un prédateur ». Peu de temps après son apparition, le spécimen est malheureusement décédé. Il a été transmis au Musée de la nature et d’archéologie (Muna), à Santa Cruz de Tenerife.
C’est sa gueule large, son antenne lumineuse sur la tête (piège à proie), ses dents longues et acérées mais aussi sa couleur noire qui distingue le “diable noir des abysses” et lui donnent une apparence terrifiante.
Source : Demotivateur
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Deux structures massives et mystérieuses ont été découvertes sous l’Afrique et l’océan Pacifique ; personne ne sait de quoi elles sont faites ni comment elles sont arrivées là. Les scientifiques ont avancé plusieurs théories pour expliquer ces formations souterraines. Certains émettent l’hypothèse qu’elles se sont […]
ACTUALITE ENVIRONNEMENTDeux structures massives et mystérieuses ont été découvertes sous l’Afrique et l’océan Pacifique ; personne ne sait de quoi elles sont faites ni comment elles sont arrivées là.
Les scientifiques ont avancé plusieurs théories pour expliquer ces formations souterraines. Certains émettent l’hypothèse qu’elles se sont formées sur des milliards d’années à partir de l’accumulation de croûte océanique.
D’autres pensent que ces structures seraient les vestiges d’une ancienne planète qui est entrée en collision avec la Terre il y a 4,5 milliards d’années – peut-être une planète de la taille de Mars.
Cet impact pourrait non seulement avoir contribué à la formation de la Terre, telle que nous la connaissons, mais aussi avoir éjecté suffisamment de débris pour créer la Lune.
Selon plusieurs chercheurs, des fragments de cette planète perdue se seraient même enfoncés profondément à l’intérieur de la Terre, se déposant juste au-dessus du noyau.
Source : Indy 100
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L’ensemble de l’équipe gouvernementale était réuni, hier jeudi 13 février 2025, autour du Chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, pour un Conseil des ministres. Au menu des travaux, l’examen d’un projet de loi et de trois décrets, et une communication écoutée, relatifs à l’économie, la […]
ACTUALITE POLITIQUEL’ensemble de l’équipe gouvernementale était réuni, hier jeudi 13 février 2025, autour du Chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, pour un Conseil des ministres. Au menu des travaux, l’examen d’un projet de loi et de trois décrets, et une communication écoutée, relatifs à l’économie, la décentralisation, la diplomatie, l’assainissement, l’urbanisme, entre autres.
Voici dans les lignes qui suivent le compte rendu des travaux dudit Conseil :
COMPTE RENDU DU CONSEIL DES MINISTRES
Lomé, jeudi 13 février 2025
Le Conseil des ministres s’est réuni ce jeudi 13 février 2025, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, Président de la République.
Le Conseil des ministres a examiné un (01) projet de loi et trois (03) décrets, et écouté une (01) communication.
I. Au titre du projet de loi,
Le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi portant modification de la loi n° 2012-016 du 14 décembre 2012, portant création de l’office togolais des recettes.
Dans le sillage des réformes mises en œuvre pour moderniser l’administration fiscale et douanière, en particulier pour assurer un processus transparent de collecte des recettes, il est apparu nécessaire de procéder à une revue du cadre institutionnel de l’Office togolais des recettes.
Ainsi le projet de loi adopté par le Conseil permet de consacrer cette évolution inspirée des meilleures pratiques internationales, et qui tire les enseignements des résultats de l’audit relatif à l’évaluation de la performance de l’Office togolais des recettes pour la période 2014-2018.
Le texte vise à renforcer la gouvernance, notamment la tutelle ministérielle, accroître l’efficacité du Conseil d’administration, et promouvoir la célérité des procédures.
Il permettra à notre pays d’avoir un Office des recettes plus moderne, efficace et transparent, capable de relever les défis auxquels sont confrontées les administrations fiscales et douanières.
II. Au titre des décrets,
Le Conseil des ministres a examiné et adopté le décret portant approbation des critères de répartition des dotations du fonds d’appui aux collectivités territoriales, exercice 2025, pour le compte des régions.
L’exercice, par les collectivités territoriales, de compétences transférées par l’État induit la nécessité d’un transfert concomitant des ressources correspondantes.
Ainsi, en plus de leurs ressources propres, les collectivités territoriales bénéficient d’un mécanisme national de financement dénommé Fonds d’appui aux collectivités territoriales. Les critères de répartition des dotations annuelles de ce fonds sont soumis à l’approbation du Conseil des ministres.
Pour l’exercice 2025, le montant global à répartir par région est composé d’une dotation de base et de dotations de péréquation suivant les critères de population, de superficie et d’indice de pauvreté, la dotation de performance n’étant pas applicable pour la première année de fonctionnement des régions.
Le Conseil des ministres a examiné en première lecture le décret modifiant le décret n°2013-082/PR du 12 décembre 2013 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l’Agence nationale d’assainissement et de salubrité publique.
L’agence nationale d’assainissement et de salubrité publique est créée à l’origine comme un organisme d’appui-conseil, de concertation, de coordination et de contrôle.
Mais, à la pratique, l’agence a été sollicitée pour des interventions de terrain visant à juguler une situation d’insalubrité généralisée, en particulier à Lomé la capitale.
Après une dizaine d’années de prise en charge réussie de missions d’exécution sur la base des dispositions pertinentes relatives à la décentralisation et au fonds d’aide aux collectivités territoriales, il y a lieu de réaliser une réorientation du cadre réglementaire de l’agence nationale d’assainissement et de salubrité publique, en arrimant son texte fondateur à son activité effective.
C’est l’objet de ce décret qui devra notamment prendre en compte les réalités de l’administration décentralisée ainsi que l’existence du district autonome du Grand Lomé pour une répartition des attributions et des responsabilités de chaque intervenant dans la chaine de l’assainissement et de la salubrité, pour garantir aux populations un environnement public propre et un cadre de vie sain.
Le Conseil des ministres a examiné en première lecture le décret fixant les attributions et le fonctionnement des Conférences administratives régionale et préfectorale.
La mise en œuvre de la réforme 5 de la feuille de route gouvernementale Togo 2025 intitulée « Décentralisation et déconcentration de l’État » exige une coordination renforcée entre les différents acteurs au niveau local, pour favoriser la synergie des stratégies, réflexions et actions en vue d’un développement national harmonieux.
Le décret fixant les attributions et le fonctionnement des conférences administratives régionale et préfectorale va permettre d’assurer la cohérence des politiques de développement, d’optimiser l’utilisation des ressources disponibles et de renforcer la transparence et l’efficacité dans le suivi des programmes et projets étatiques en réponse aux besoins spécifiques des populations locales.
III. Au titre des communications,
Le Conseil des ministres a écouté une communication de la ministre de l’Urbanisme, de l’habitat et de la réforme foncière, relative au projet de création de l’Institut géographique national du Togo.
En vue d’améliorer la gestion du système d’information foncière aux niveaux national et local, le gouvernement a entrepris des mesures destinées à repenser l’organisation institutionnelle du système de cartographie nationale, afin qu’il réponde à l’ambition de moderniser le pays et renforcer ses structures, d’une part, et, d’autre part, tienne compte des évolutions techniques en matière de traitement des informations géographiques.
Au nombre de ces mesures figure la transformation de l’actuelle direction générale de l’information géographique et de la cartographie en un institut doté d’une autonomie de gestion administrative et financière.
Fait à Lomé, le 13 février 2025
Le Conseil des ministres
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Créé en 2017, le Comité de Concertation État-Secteur privé (CCESP Togo), dont le mandat est d’œuvrer à l’enracinement de la culture de dialogue afin de renforcer la confiance mutuelle entre acteurs publics et privés, vient d’installer son antenne régionale de la Kara. C’est pour un […]
ACTUALITE ECONOMIECréé en 2017, le Comité de Concertation État-Secteur privé (CCESP Togo), dont le mandat est d’œuvrer à l’enracinement de la culture de dialogue afin de renforcer la confiance mutuelle entre acteurs publics et privés, vient d’installer son antenne régionale de la Kara. C’est pour un maillage du territoire pour l’ancrage réaliste de ce climat de confiance entre l’État et le secteur privé.
Jonas Daou, président de l’Association des Grandes Entreprises (AGET) a salué cette première délocalisation qui va permettre de dynamiser l’envie de créations des entreprises aussi bien à Lomé qu’à l’intérieur du pays. L’installation de l’antenne de la région de Kara du CCESP Togo marque ainsi une étape importante dans le déroulement de l’agenda du comité de concertation Etat-secteur privé.
« La mise en place, aujourd’hui, du Comité Régional de Concertation de la Kara marque une étape clé dans la concrétisation de la vision du Chef de l’Etat de créer des pôles économiques régionaux dynamiques, capables de porter la croissance inclusive au cœur de nos régions », a déclaré Baniab Moyeme, le Secrétaire Exécutif du CCESP Togo.
Au service du développement du secteur privé régional local, le Comité Régional de Concertation de la Kara a pour mission principale de promouvoir un dialogue public-privé effectif et permanent à l’échelle locale. Il sera le relais des préoccupations des acteurs économiques de la région et jouera un rôle de veille sur les défis et opportunités du tissu entrepreneurial local.
« Concrètement, il s’agira, pour le Comité, deCollecter et examiner les préoccupations des entreprises de la région afin de leur apporter des solutions concrètes et adaptées ; Relayer les initiatives gouvernementales, en faveur du secteur privé, en s’assurant qu’elles atteignent efficacement les acteurs économiques locaux ; Créer une culture de dialogue à la base, en favorisant l’écoute et la collaboration entre les différents acteurs », fait-on savoir.
Parmi les réformes majeures récemment mises en œuvre, figurent : La modernisation du cadre légal et réglementaire des investissements ; la numérisation des services publics, notamment à travers le cadastre numérique et la digitalisation des procédures fiscales ; l’amélioration de la justice commerciale, qui offre désormais une plate-forme moderne, transparente et accessible aux entreprises ; le développement des infrastructures clés, notamment à travers la Plate-forme Industrielle d’Adétikopé, qui est un pilier central de la stratégie d’industrialisation du pays.
Les comités régionaux se composent des Gouverneurs de régions, des préfets, des élus locaux et régionaux, des responsables régionaux de l’Administration publique, des structures publiques, parapubliques ainsi que les représentants du secteur privé, sous la présidence des Gouverneurs de régions.
Pour le ministre de l’économie et des finances, Essowè Barcola, la mise en place, du Comité Régional de Concertation de la Kara marque une étape clé dans la concrétisation de la vision du Chef de l’Etat de créer des pôles économiques régionaux dynamiques, capables de porter la croissance inclusive au cœur de nos régions. « Je suis convaincu que ce comité sera un levier puissant pour renforcer la compétitivité des entreprises de la région de la Kara et en faire des moteurs de la transformation économique de notre pays. Mesdames et Messieurs, membres du comité régional, votre rôle est essentiel pour bâtir un cadre de collaboration durable entre l’État et les entreprises locales », a-t-il dit.
Selon lui, le Comité Régional de Concertation de la Kara sera le relais des préoccupations des acteurs économiques de la région et jouera un rôle de veille sur les défis et opportunités du tissu entrepreneurial local. Ainsi, porté par sa Feuille de Route Gouvernementale 2020-2025, le Togo poursuit de manière ordonnée, et inclusive, sa trajectoire vers l’émergence.
Pour maintenir la dynamique positive impulsée depuis plusieurs années, le Togo a pris l’option d’un partenariat de confiance avec le monde de l’entreprise. La vision des plus hautes autorités togolaises, est de faire émerger un secteur privé dynamique et diversifié, un secteur privé qui s’engage, et qui amplifie son impact sur l’économie nationale, voire au-delà de nos frontières. Un des leviers pour concrétiser cette vision est la mise en place d’un cadre structuré de dialogue public privé, le Comité de concertation État secteur privé, (CCESP Togo).
(In LE MEDIUM n°639 du 11 au 17 Février 2025)
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Dans un communiqué en date du 12 février 2025, l’Office Togolais des Recettes (OTR) rappelle aux contribuables les dispositions en lien avec le paiement de la taxe sur la plus-value de cessions à titre onéreux de biens immeubles, soumise notamment au régime déclaratif conformément aux […]
ACTUALITE ANNONCEDans un communiqué en date du 12 février 2025, l’Office Togolais des Recettes (OTR) rappelle aux contribuables les dispositions en lien avec le paiement de la taxe sur la plus-value de cessions à titre onéreux de biens immeubles, soumise notamment au régime déclaratif conformément aux dispositions de l’article 47 du Livre de Procédures Fiscales.
Dans les lignes qui suivent l’intégralité du communiqué relatif à la déclaration et au paiement de cette taxe :
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Pour une meilleure application des principes d’équité et d’égalité pour tous, le gouvernement a jugé nécessaire de veiller à ce que les processus de planification, de programmation et de budgétisation, de mise en œuvre, ainsi que de suivi-évaluation des programmes et projets des ministères et […]
ACTUALITE ECONOMIEPour une meilleure application des principes d’équité et d’égalité pour tous, le gouvernement a jugé nécessaire de veiller à ce que les processus de planification, de programmation et de budgétisation, de mise en œuvre, ainsi que de suivi-évaluation des programmes et projets des ministères et institutions publiques soient mieux envisagés et menés de manière à assurer l’intégration effective du genre. Pour ce faire, il élabore un Document Budgétaire Sensible au Genre (DBSG).
Il s’agit de la prise en compte des besoins et aspirations différenciées des hommes et des femmes dans les politiques, programmes et projets de développement, moteur de développement durable.
Ainsi, en lien avec l’Axe 3 : « moderniser le pays et renforcer ses structures » de la Feuille de route gouvernementale Togo 2020-2025, le Programme de Modernisation de l’Administration Publique pour la Délivrance des Services (PMADS) a été initié avec l’appui de la Banque mondiale et a pour objectif global, d’améliorer l’efficacité des services publics afin d’accompagner la croissance économique et de répondre aux besoins sociaux des populations.
Au ministère de l’économie et des finances, on indique que ce programme répond ainsi, aux défis de la transformation et de la modernisation de la gouvernance administrative à travers deux axes stratégiques : le renforcement des ressources humaines et des structures publiques, visant à optimiser les performances des institutions étatiques et ; l’amélioration de l’efficience de la gestion des dépenses publiques avec pour objectif de renforcer l’efficience de la gestion de dépenses publiques, avec l’objectif sous-jacent d’assurer une prestation efficace, efficiente et économique des services publics.
Pour améliorer le manuel d’élaboration du DBSG, mis en essaie depuis l’année dernière (2024), les principaux acteurs concernés par le sujet examinent le document depuis quelques jours. Il s’agit de revoir le canevas et de valider le manuel d’élaboration du DBSG, référence sur la conception et les pratiques d’étiquetage des dépenses en fonction du genre dont le canevas sera annexé à la lettre de cadrage. « L’atelier vise plus spécifiquement à : Présenter le projet du manuel d’élaboration du Document du Budget Sensible au Genre (DBSG) et le faire examiner par les différentes parties prenantes ; Réviser le canevas en vue de son amélioration ; Procéder à l’approbation du manuel par validation », fait-on savoir.
Entamée en 2021 et mise en œuvre en 2022, la budgétisation sensible au genre se veut pérenne et traduit la vision pragmatique de SEM Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République, d’accorder une place de choix au genre dans tous les projets et politiques de développement. Pour l’exercice 2024, le Gouvernement a élargi le champ des entités étatiques concernées par la planification et la budgétisation sensibles au genre. D’une (1) institution et de huit (8) ministères en 2023, le nombre des entités impliquées dans l’élaboration du Document budgétaire sensible au genre (DBSG) est passé à quinze (15) en 2024.
L’extension de ce processus répond davantage aux besoins de la construction de l’identité sociale des femmes et des hommes, de la lutte contre les stéréotypes liés au sexe, de la protection de l’intégrité et de la dignité des femmes ainsi que de leur autonomisation sur tous les plans. Aussi, la lettre de cadrage budgétaire préconise la prise en compte dans le DPBEP 2024-20264 des dépenses prévues pour le genre. Cet effort d’allocation budgétaire consenti par le ministère de l’économie et des finances devra se poursuivre au niveau sectoriel. Dans le budget genre 2024, la sensibilité du budget de l’Etat en matière d’équité et d’égalité de genre a été examinée à travers la dotation de la cour des comptes (CdC) et les programmes des quatorze (14) ministères. En termes de poids budgétaire, les dépenses sensibles au genre dans le budget 2024 pour la CdC et les quatorze (14) ministères couvrent environ 0,04% du budget général, soit environ 30,5 milliards FCFA.
En 2025, le nombre des entités appelées à élaborer le DBSG est passé à neuf (09) institutions et trente (30) ministères. Les prévisions des dépenses globales genre en 2025 sont estimées dans les mêmes proportion que 2024 (30,53 milliards FCFA), variant de 37,65% à 0,01% selon les structures.
Les autorités affirment qu’actuellement, le Togo dispose d’un noyau d’experts en BSG pour appuyer le processus d’élaboration du DBSG. De plus, chaque département ministériel et institution de la République bénéficie d’une ligne budgétaire pour la réalisation des activités en lien avec le genre. Le nombre des premiers responsables ainsi que l’ensemble du personnel des structures publiques sensibles au genre ne cessent d’être grandissants. Cet acquis conforte l’esprit de la prise en compte de l’approche genre. Aussi, tous les ministères s’efforcent d’avoir, au niveau de leurs différents services centraux et déconcentrés, des points focaux genre pour appuyer la cellule focale genre dans sa mission.
Koudjoukabalo (In LE MEDIUM n°639 du 11 au 17 Février 2025)
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Un kit composé de semences (oignon, tomate et piment), d’un pulvérisateur, de 2 arrosoirs, d’une binette, d’une brouette, du biopesticide, du biofertilisant, d’une pelle, d’un râteau, d’une houe et d’une daba, a été distribué aux 5500 producteurs maraichers du Togo (dont 2475 femmes) dans le […]
ACTUALITE AGRICULTUREUn kit composé de semences (oignon, tomate et piment), d’un pulvérisateur, de 2 arrosoirs, d’une binette, d’une brouette, du biopesticide, du biofertilisant, d’une pelle, d’un râteau, d’une houe et d’une daba, a été distribué aux 5500 producteurs maraichers du Togo (dont 2475 femmes) dans le cadre du financement additionnel du GAFSP. Il est prévu également des motopompes au profit des groupes solidaires dynamiques afin de leur permettre de mieux s’approvisionner en eau pour satisfaire les besoins des cultures.
Cette action du FSRP vise à renforcer la résilience des populations agricoles vulnérables par l’amélioration de leur productivité à travers l’utilisation des outils et intrants de qualité.
Selon le coordonnateur opérateur opérationnel délégué du FSRP, ces appuis du FSRP sont un engagement fort des plus hautes autorités togolaises à soutenir et à renforcer le secteur agricole dans son ensemble et par ricochet, contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations. « C’est alors le moment idéal de vous encourager à faire un bon usage de ces appuis qui doit vous permettre d’être désormais autonome », a-t-il déclaré à l’endroit des bénéficiaires qui assistaient à la remise symbolique des kits d’outils de maraîchage aux producteurs maraîchers dans le village d’Akparè dans la préfecture de l’Ogou qui marque le début de l’opération de distribution des kits d’intrants et de petits matériels agricoles au profit de producteurs maraîchers identifiés dans les six régions agricoles du pays.
Il faut relever que le maraîchage est l’un des sous-secteurs de l’agriculture dont les produits contribuent essentiellement à assurer la sécurité alimentaire à la population tant en milieu rurale qu’urbain. Un conseil interprofession et les plates-formes d’innovation de tomate et d’oignon regroupent des productrices et producteurs, les transformatrices et transformateurs, des commerçantes et commerçants grossistes spécialisés dans la production et commercialisation de produits maraîchers.
Depuis leur création, ils œuvrent pour l’amélioration des conditions de travail de ses acteurs de la chaîne, la promotion de pratiques agricoles, commerciales équitables et durables, et le renforcement de leur contribution à l’économie locale et régionale. Le conseil interprofessionnel, les plateformes d’innovation de tomate et d’oignon et l’UCGMAL (Union des Coopératives, des Commerçantes et Commerçants Grossistes des Produits Maraîchers de Lomé) sont des acteurs clés dans le secteur maraîcher au Togo et jouent un rôle essentiel dans la chaîne d’approvisionnement et de commercialisation des produits maraîchers. Ils reçoivent des soutiens divers du FSRP.
Initié dans le cadre de la mise en œuvre des engagements de la région, le Programme de Résilience du Système Alimentaire en Afrique de l’Ouest (PRSA/FRSP) vise à accroitre la préparation à l’insécurité alimentaire et améliorer la résilience des acteurs du système alimentaire des paysages prioritaires et des chaines de valeur dans les zones du programme. Trois domaines d’intervention : Soutenir la base productive du système alimentaire en investissant dans l’agriculture climato-intelligente au niveau des exploitations et des paysages ; promouvoir un environnement favorable au développement de la chaine de valeur et au commerce intrarégional, renforcer la capacité régionale à gérer les risques agricoles.
Au Togo, la composante 1 du programme vise, l’amélioration de la capacité régionale et nationale à fournir des services d’information fiables sur la vulnérabilité, la nutrition et la sécurité alimentaire ; la réorganisation et amélioration des mécanismes régionaux et nationaux de surveillance et de gestion des ravageurs et des maladies (Renforcement du système de gestion des nuisibles) et le renforcement de la collaboration régionale pour la prévention des crises alimentaires.
L’Amélioration de la production d’informations agro-hydro-météorologiques, l’appui à la fourniture et à l’utilisation à temps réel d’informations agro-hydrométéorologiques essentielles aux principaux utilisateurs, et le renforcement de la viabilité financière et institutionnelle des institutions régionales et nationales qui fournissent des informations agro-hydro-météorologiques sont aussi visés.
L’année dernière déjà, dans le cadre de l’appui additionnel du GAFSP, le FSRP TOGO avait acquis des kits d’intrants composés de semences certifiées de variétés améliorées de maïs (maïs biofortifié), niébé, soja, riz et d’autres intrants (fertilisants, pesticides, etc.) au profit de 28 362 producteurs agricoles sélectionnés prioritairement au niveau des organisations de producteurs (OP) et des sites aménagés dont les ZAAP et les bas-fonds.
La Rédaction (In LE MEDIUM n°639 du 11 au 17 Février 2025)
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Le 25 septembre 2023, une étude scientifique publiée dans la revue Nature Geoscience, a complètement bouleversé les estimations sur l’avenir de notre chère Terre. L’équipe internationale qui a mené ces recherches a annoncé que notre planète, d’ici 250 millions d’années, connaîtra des températures extrêmes rendant la […]
ACTUALITE ENVIRONNEMENTLe 25 septembre 2023, une étude scientifique publiée dans la revue Nature Geoscience, a complètement bouleversé les estimations sur l’avenir de notre chère Terre.
L’équipe internationale qui a mené ces recherches a annoncé que notre planète, d’ici 250 millions d’années, connaîtra des températures extrêmes rendant la vie humaine impossible, indique le site Swigg. Mais alors que les prévisions précédentes situaient ce phénomène désastreux dans plusieurs milliards d’années, de nouvelles observations révèlent que de telles conditions climatiques deviendront invivables bien plus tôt que prévu.
Selon les chercheurs, dans 250 millions d’années, un nouveau supercontinent appelé Pangée Ultima sera formé par la fusion des plaques tectoniques. Un phénomène qui n’est pas étranger à la terre et qui aura pour conséquence de modifier en profondeur le climat global. Et, lorsque cette fusion des continents a lieu, elle influence les courants océaniques et atmosphériques de manière considérable, provoquant une hausse inévitable des températures.
Augmentation du dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère, activité volcanique intensifiée, diminution des océans capables d’absorber les gaz à effet de serre, s’ajoutent à ce changement drastique de climat.
Comme le rapporte Swigg, « la combinaison entre des températures élevées et une humidité excessive créera un environnement où la survie des mammifères, y compris les humains, deviendra pratiquement impossible ». D’après les scientifiques, ce sont 92 % des terres émergées qui ne seront plus habitables, les températures corporelles ne pouvant plus être régulées par notre transpiration.
Dans certaines régions du monde, où le changement climatique a déjà bien entamé son œuvre, ce phénomène a déjà été observé, créant d’importantes vagues de chaleur. Des limites physiologiques commencent à être franchies au Moyen-Orient et en Asie du Sud (avec des températures supérieures à 50°C).
Alors que la formation et la séparation des supercontinents suivent un rythme naturel s’étendant sur des centaines de millions d’années, cette fois-ci, les conditions climatiques pourraient être bien plus intenses que lors de précédentes fusions.
A l’échelle humaine, cette échéance si lointaine ne représente pas grand-chose, mais elle illustre combien la Terre et son climat sont en constante évolution et à quel point notre planète subit des perturbations naturelles face auxquelles l’humain est impuissant.
Source : Swigg
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Ouagadougou, 12 fév. 2025 (AIB)-La 29e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) se tiendra du 22 février au 1er mars 2025. En prélude à cet événement d’envergure internationale, l’Agence d’information du Burkina (AIB) a rencontré le président de […]
ACTUALITE CULTUREOuagadougou, 12 fév. 2025 (AIB)-La 29e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) se tiendra du 22 février au 1er mars 2025. En prélude à cet événement d’envergure internationale, l’Agence d’information du Burkina (AIB) a rencontré le président de la commission jurys officiels, Hamadou Sondé, qui revient sur l’historique du FESPACO.
Le FESPACO a été créé en 1969 sous la dénomination de « Premier Festival de cinéma africain de Ouagadougou », selon les écrits et les archives, a confié le président de la commission jurys officiels, Hamadou Sondé.
M. Sondé, par ailleurs, conseiller technique du Délégué général du FESPACO prend à témoin, la première affiche du FESPACO en 1969, sur laquelle est mentionnée : « Premier Festival de cinéma africain de Ouagadougou ». Cependant, il a dit avoir remarqué que beaucoup d’écrits mentionnent « Semaine du cinéma africain » ou « Première quinzaine du cinéma africain » désignant cette première édition.
M. Sondé a affirmé que la première édition du FESPACO a eu lieu du 1er au 15 février 1969. Cette première édition a réuni cinq pays africains : le Sénégal, la Haute Volta (actuel Burkina Faso), la Côte d’Ivoire, le Niger et le Cameroun et deux pays européens : la France et les Pays-Bas (couramment appelé Hollande).
Parmi les fondateurs du FESPACO, M. Sondé a cité Louis Tombiano (qui était le premier secrétaire permanent du FESPACO), Claude Prieux, qui était le directeur du centre culturel franco-voltaïque, François Bassolet, Alimata Salembéré, Sembène Ousmane, Hamidou Ouédraogo …
Il a confié que le festival s’est agrandi au fil des éditions pour devenir un événement majeur, continental et mondial. « Le FESPACO est devenu, de nos jours, la référence du 7 e art africain, la principale vitrine des cinémas d’Afrique en révélant l’inépuisable imaginaire dont regorgent l’Afrique et sa diaspora », a-t-il souligné. C’est la raison pour laquelle, Ouagadougou est qualifié de « capitale du cinéma africain », a fait remarquer M. Sondé.
Le président de la commission jurys officiels a soutenu que le FESPACO est donc le creuset des cinémas d’Afrique, un label reconnu mondialement.
Il a affirmé que le festival vise, entre autres objectifs, à favoriser la diffusion de toutes les œuvres des cinémas d’Afrique, de permettre les contacts et les échanges entre les professionnels du cinéma, de l’audiovisuel et de l’image animée, de contribuer à l’essor, au développement et à la sauvegarde des cinémas d’Afrique et de sa diaspora, en tant que moyen d’expression, d’éducation et de conscientisation.
M. Sondé a, en outre, confié qu’après 1969, l’année de la première édition qui a connu une présentation des films, sans compétition, la deuxième date majeure à retenir dans l’évolution du FESPACO est 1972, date de la 3è édition. En effet, c’est à partir de 1972, a-t-il rappelé, que le FESPACO a été institutionnalisé avec une compétition de films et l’attribution du premier étalon de Yennenga au palmarès officiel.
Le conseiller technique a rendu un vibrant hommage à l’ex président, feu le Général Sangoulé Lamizana qui, face aux difficultés d’accès aux salles de cinéma (les salles de cinéma étaient non nationales) pour l’organisation du festival, surtout, lors de sa seconde édition en 1970, a pris un décret pour institutionnaliser le FESPACO et lui donner une nouvelle dynamique. Il s’agit du décret n°72/003/PM/INFO/ENC du 7 janvier 1972 portant création du Festival Africain du Cinéma de Ouagadougou.
La compétition officielle qui a eu lieu en 1972 a été remportée par le cinéaste nigérien Feu Oumarou Ganda, avec son film « Le Wazzou polygame ». Oumarou Ganda est donc le premier lauréat de l’Étalon de Yennenga, dans l’histoire du FESPACO, a fait savoir, Hamadou Sondé.
Pas une seule édition manquée
M. Sondé a confié que les 4e et 5e édition du festival ont eu lieu respectivement en 1973 et en 1976, mais, précisé que c’est à partir de la 6è édition tenue en 1979, que l’événement est devenu une biennale.
« Depuis 1979, le festival est organisé régulièrement tous les deux ans, sans discontinuité, ce, malgré les contextes et les crises politiques, sociales, économiques et sanitaires… au plan national ou international », a-t-il dit.
Il a affirmé que tous les Gouvernements et les Chefs d’État qui se sont succédé au Burkina Faso ont fait de l’organisation du FESPACO leur cheval de bataille, leur priorité. Ainsi, ils ont tous relevé le défi quel que soit le contexte qui a été parfois très difficile (L’assassinat du président Thomas Sankara en 1987, la grande crise sanitaire due à la maladie à virus Ébola en 2014-2015, la pandémie de la COVID-19 en 2020-2021…).
« Par exemple, pendant la période de la COVID-19, toutes les manifestations ont été annulées à travers le monde, mais le FESPACO a eu lieu, les dates ayant été décalées pour que l’édition de 2021 se tienne du 16 au 23 octobre. C’est la seule manifestation d’envergure internationale qui s’est tenue au Burkina en 2020-2021. Il en est de même avec la crise sanitaire de 2014-2015 à cause de la maladie à virus Ébola qui n’a pas empêché la tenue du festival du 28 février au 7 mars 2015 », a-t-il constaté.
M. Sondé a, dans la même lancé, soutenu qu’aucun président ou gouvernement, ne veut prendre la responsabilité de ne pas organiser une édition du FESPACO, car historiquement, c’est un fardeau qui peut être lourd à porter. En effet, l’histoire et les archives pourraient retenir que sous le pouvoir de tel ou tel président ou de tel ou tel gouvernement qu’une édition du FESPACO a été annulée.
La biennale a lieu les années impaires et débute tous les derniers samedis du mois de février. «Ainsi, cette année, le FESPACO débute le samedi 22 février et prend fin le samedi 1er mars », selon les explications de M. Sondé. Il a indiqué que cette période est idéale, car, le temps est clément, c’est la fin de la période du froid et avant la période de grande chaleur.
A suivre…
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